
Le mardi 7 janvier 2025, le Tribunal de Première Instance de Kaloum a condamné Aliou Bah, président du Mouvement Démocratique Libéral (MoDeL), à deux ans de prison ferme pour “offense et diffamation” envers le président de la transition, Mamadi Doumbouya.
le parti MoDeL a tenu une conférence de presse ce mercredi 8 janvier 2025, pour dénoncer cette condamnation, la qualifiant d’instrumentalisation politique de la justice visant à museler l’opposition.
Les militants et sympathisants du dit parti ont annoncé leur intention de faire appel, soulignant que cette décision constitue une atteinte grave à la liberté d’expression et aux droits politiques en Guinée.
<<L’objectif de cette de presse est d’informer l’opinion nationale international par rapport à la condamnation de deux ans de prison ferme. Il était important d’informer tout le monde de cette condamnation que nous considérons d’injustes que nous condamnons fermement avec la plus grande énergie parce que nous estimons que le droit n’a pas été dit vu l’audiences qui ont été tenues au tribunal et la plaidoirie de nos avocats. Pour déconstruire l’infraction ou laisser poser infraction retenue contre le président et que le jour du verdict on se rend compte qu’on sait juste alignés sur la répétition du ministère public. Le président a été coordonnée de deux ans de prison ferme. Il a été victime d’injustice que c’est important de dénoncer parce que cela met en péril la liberté d’expression mais également les libertés individuelles les collectives parce qu’il est dans son rôle de politicien l’idée dans son rôle. A t-il dénoncé le secrétaire aux affaires.La condamnation d’Aliou Bah a suscité de vives réactions au sein de la classe politique guinéenne et des organisations de défense des droits humains, qui y voient une tentative de répression des voix dissidentes.
Morlaye camara pour newsquozidien