Papa, malgré tes charges administratives, tu fus ce père qui fut toujours là, pour le meilleur et pour le pire.
Ce n’est pas qu’un père que j’ai perdu, j’ai aussi perdu ma bibliothèque, mon meilleur professeur, celui qui m’a enseignée la vie et le sens de l’humanité. Mon meilleur ami qui est parti pour toujours…. Ce ne sera pas facile d’aligner ces lignes pour te rendre hommage, mais comme tu m’as toujours enseignée d’être forte, j’y arriverai….
Papa, tes amis, tes collaborateurs … témoignent que tu as été une tête, un Patriote : Une vie en tant que matrice du patriotisme Guinéen, dont j’ai l’honneur de présenter ci-dessous :
Tout a commencé après l’accession de la Guinée à l’indépendance le 02 octobre 1958, la France avait imposé une période de forte tension géopolitique via une propagande d’État hors normes pour non seulement déstabiliser le pays mais aussi le rendre vulnérable et infréquentable. Face à cette campagne de désinformation digne d’un film de fiction, des jeunes étudiants de la diaspora guinéenne du monde se sont organisés pour donner une riposte prompte et efficace. Parmi cette génération d’hommes et de femmes résolument déterminés à défendre l’image de marque et la dignité de notre jeune République, servait avec loyauté et intégrité, le regretté Lansana Sako (papa), celui qui deviendra avec faste le porte-flambeau de la résistance aux États-Unis à travers des articles de presse publiés dans les colonnes du quotidien New York Times pour répondre aux critiques infondées et à la propagande d’État sponsorisée par l’impérialiste.
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