
Amnesty International une conférence de presse ce mercredi 24 avril 2024 à la maison de la presse
L’objectif de cette conférence est de dresser le bilan sur les droits de l’homme au compte annuel de l’ année 2023-2024 Selon le directeur exécutif d’Amnesty International Guinée
c’est un bilan sombre qui doit nous alerter
“Bon Amnesty vient de publier ce rapport annuel 2023 2024 globalement sur la Guinée ce qui nous constatons c’est les rétrécissement de l’espace Civic, la remise en cause de la liberté d’expression énormément beaucoup de journalistes qui ont quitté encore malheureusement plusieurs émissions sont suspendus, les chaînes de télé qui sont retirés dans les bouquets des diffuseurs la liberté de manifestation toujours interdite de toutes les manifestations sont mécaniques dans nos pays et malheureusement en 2023, nous avons constaté au même moment qu’ils étaient manifestations sont interdites les manifestations en faveur des autorités ont été autorités en tout cas permis dans le pays” A-t-il mentionné
Dans la lancée, il a apprécié les efforts grâce des autorités judiciaire, en précédent à certains jugement, comme le cas de M’mah sylla
“il y a eu des cas de jugement notamment on se félicite qu’il y ait la justice dans le cas de du dossier de M’mah sylla, on suit attentivement l’évolution du procès des événements du 28 septembre.” dit t-il
Poursuivant dans sa communication se réjouis dénonçant vigoureusement autres situations malheureuses qui continuent à refaire surface.
“Donc ça aussi on se réjouit que les autorités guinéennes que ce sujet continue mais malheureusement au même moment, il y a encore des arrestations de personnes qui conduisent encore dans des prisons et comme je le disais la liberté de manifestation. Qui demande qu’il y ait une révision en fin de la loi, elles se représentent dirigent les associations parce qu’il y a toujours ce problème de quatrièmement les associations et donc voilà globalement la situation. Malheureusement, le tableau indécent des droits humains dans le pays, on a vécu tous ici les restrictions de l’accès aux réseaux sociaux pendant plusieurs mois et donc qui donc est une véritablement de la question des droits humains les améliorations”. A-t-il laissé entendre Souleymane Sow, directeur exécutif d’Amnesty International Guinée
Morlaye camara pour quotidienmedias