« Nous avons une lumière », c’est par ces mots forts que le Général Mamadou Alimou Diallo, fondateur d’une nouvelle organisation non gouvernementale, a introduit son message à l’endroit du peuple de Guinée. Selon lui, l’initiative de création de cette fondation répond à un besoin vital : la préservation et la promotion de la paix, condition essentielle pour le développement et l’avenir du pays.
Pour le Général Diallo, la paix n’est pas un simple mot, mais une valeur fondamentale que tout citoyen doit cultiver et défendre. « Quand on ne la prend pas au sérieux, elle devient un problème », a-t-il souligné, insistant sur la nécessité de sensibiliser et d’informer toutes les couches sociales, y compris celles qui n’ont pas eu accès à l’éducation.
La Fondation hadja l’islam se donne pour mission principale d’unir les Guinéens, de l’intérieur comme de la diaspora, autour d’un idéal commun : faire de la Guinée un pays stable et solidaire. « Cette Guinée nous appartient à tous. Nous ne voulons pas qu’elle sombre comme d’autres nations. Ici, c’est notre pays de paix », a affirmé le Général.
Au-delà du plaidoyer pour la cohésion sociale, la fondation s’engage également sur le terrain humanitaire. Lors des récentes inondations qui ont endeuillé plusieurs familles, elle a entrepris des actions de soutien aux sinistrés. Pour le Général Diallo, l’humanisme est indissociable de la paix « Quand on parle de paix, il faut aussi répondre aux besoins urgents des populations. »
La structure travaille en collaboration avec l’administration et les acteurs de la société civile afin de vulgariser ses actions et d’ancrer la culture de paix dans les esprits. Elle ambitionne de devenir une chaîne d’action continue au service de la Guinée, en œuvrant à la fois pour l’assainissement, la solidarité et la stabilité du pays.
En conclusion, le Général Mamadou Alimou Diallo a lancé un appel vibrant à tous les Guinéens « Nous demandons à toute la population d’adhérer et de se serrer les coudes pour que le pays avance. La plus belle richesse que nous puissions avoir, c’est la paix. »