Vous avez cru pouvoir me faire du mal en me menaçant de m’interdire l’accès à l’événement. Mais vous avez perdu votre temps.
Ce genre de menace ne m’atteint pas, car ma présence et mon engagement ne dépendent ni de vos validations ni de vos peurs. Vous avez utilisé le nom de Dalaba à tort, sans raison valable, en l’impliquant dans des tensions personnelles qui ne la concernent en rien.
Aujourd’hui, c’est toute l’Amérique qui parle de nous, de ce que nous avons su bâtir avec passion, courage et détermination. D’autres ont organisé des événements avant nous, c’est vrai. Mais aucun n’a suscité autant d’écho, autant d’énergie, autant d’impact. Et cela, ce n’est ni par hasard ni par bruit : c’est le fruit d’un travail sincère, collectif et inspiré.
Notez-le bien : je serai présente demain, Inshallah.
Ni vos menaces, ni vos manœuvres ne me retiendront.
Ce que vous avez tenté, consciemment ou non, c’est de décourager. Et malheureusement, cela a fonctionné sur certaines personnes sincères, qui souhaitaient simplement participer, partager, construire. Ces fausses alertes, ces divisions gratuites, ne font qu’affaiblir ce que nous essayons tous de faire avancer.
Alors je vous le demande avec sérieux et respect : laissez Dalaba en dehors de vos conflits, de vos rancunes, de vos intérêts personnels.
Cette ville mérite mieux que d’être le théâtre de vos calculs ou de vos luttes d’influence.
Nous avançons, et nous continuerons à avancer. Avec ou sans votre bénédiction.